• Mon fils, 5 ans, fruit d’un mariage gris

    Sylvain a été victime d’un mariage gris puis a été spolié par son épouse d’origine étrangère.

    Je m’appelle Sylvain, j'ai 35 ans, je me suis marié en 2006 avec une femme d'origine marocaine.
    Celle-ci a commencé ensuite à changer de comportement. Elle n’a jamais participé à aucune charge du mariage.

    Pourquoi est-elle restée aussi longtemps mariée?

    Cette dernière avait un amant depuis au moins 2004 mais son amant s'est retrouvé en prison en 2007 pour trafic de drogue et a purgé sa peine jusqu’à avril 2010.
     
    Entre temps notre enfant est né en avril 2008.
     
    Son amant l'appelait de prison et à sa sortie, j'ai pu constater que rien ne serait plus jamais pareil.

    Les insultes commençaient à fuser à mon encontre. Elle sortait de la maison tout le temps, elle ne travaillait pas et m'évitait continuellement, elle n'oubliait pas de me demander de l'argent et quand je ne lui en donnais pas, elle me le volait.

    Mais tout a basculé en juin 2012, quand elle a envoyé notre fils au Maroc pour les vacances, de ce jour elle a quitté la maison. Quand elle est partie au Maroc pour ses vacances, elle ne m’a plus répondu au téléphone et m’a menacé de ne plus voir mon enfant, qu’elle allait disparaître. Ce n’est que fin août 2012 qu’elle a présenté mon fils à mes parents, elle n’avait pas le choix et devait travailler.

    Ne sachant que faire, je l’ai cherchée partout. Elle me disait qu’elle était chez une copine.
    Mais début juillet 2012, j'ai reçu un coup de téléphone de son témoin de mariage qui me révélait qu'elle me trompait depuis longtemps.
    J’ai donc engagé un détective pour la retrouver, effectivement elle était chez son amant.
    Après avoir découvert cela, j'ai découvert des papiers de divorce de sa part et des plaintes pour violences conjugales.
     
    Quand je lui ai fait comprendre que j'étais au courant de leur complot, les ennuis ont commencé, ils m’ont tout d'abord volé mes papiers d'identité en rentrant de bon matin dans l'appartement conjugal.

    Après ça ils sont venus chez moi pour me frapper, ils l’ont fait deux fois, pour que je quitte le logement.
     
    J'ai porté plainte.
     
    Et fin août 2012, ils ont changé les serrures de l'appartement, si bien que je me suis retrouvé à la rue et devant m'occuper de mon enfant.
     
    Enfin d'autres plaintes ont émané de sa part pour violences…
     
    Ils ont emménagé tous les deux dans le domicile et n'ont pas payé les loyers...
     
    Après m’être retrouvé 4 mois à la rue sans avoir été aidé par les pouvoirs publics, j’ai pu retrouver un logement le 1er novembre 2012. Nous sommes passés devant le JAF (Juge des Affaires Familiales) où a été établie une ordonnance de non conciliation, puisque mon ex-femme demandait la garde exclusive, et moi-même étant un homme, je ne pouvais prétendre à plus que la garde alternée, ce que j’ai obtenu.
    J’ai également réclamé une enquête sociale pour déterminer la situation dans laquelle mon fils est élevé chez sa mère et son compagnon (le divorce «étant une procédure civile, je n’ai pu sortir son casier judiciaire, en revanche l’enquêteur social a le pouvoir de le faire). J’ai aussi obtenu que mon fils ne puisse pas sortir du territoire français sans mon autorisation.
     
    Je réclame dorénavant d’obtenir un divorce pour faute dans un premier temps, pour pouvoir par la suite demande l’annulation du mariage.
     
    Je suis conscient de la difficulté pour faire reconnaitre l’escroquerie sentimentale à but migratoire. Par le biais de ce récit j’apporte mon vécu pour toutes les autres personnes victimes de cet abus, et je souhaite que quand mon fils grandira, il puisse connaitre la vérité sur les raisons de sa naissance, même si je suis conscient qu’il en souffrira, mais les mensonges sont pires qu’une vérité douloureuse.
     
    Mon appel est simple, il me parait primordial que les personnes qui enfantent pour obtenir la nationalité française de manière illicite doivent être déchues de leur titre de séjour ou de leur nationalité. Et que les enfants issus de cette union frauduleuse doivent être placés sous la responsabilité de leur parent responsable (les gardes restant à être examinées au cas par cas bien sûr).
     
    Je tiens d’ailleurs à signaler que j’ai écrit au Préfet et au Procureur de La République, au Ministre Chargé de la Famille, au Premier Ministre et à quelques Députés, sans qu’aucun ne daigne me recevoir.
    Les Services de Police également, n’ont pas encore pris en compte mes plaintes.

    « Témoignage de Rhomaysa R.Témoignage anonyme »