• Constipation du cerveau : clandé mode d'emploi


    Témoignage rédigé par Doubadouba le 20 janvier 2009

    Je ne vais pas revenir en détails sur mon merveilleux mariage qui date déjà de 2003, je vais vous donner les nouvelles fraîches.

    Après un mariage gris et un abandon du domicile conjugal de la part de mon mari (sans me prévenir, cela va de soi !), il a donc demandé le divorce, arguant le fait que je l'ai chassé hors de notre paisible foyer...

    Monsieur fait traîner les choses depuis mars 2006...mais ne croyez pas qu'entre temps il reste inactif.

    Il a donc démissionné de son poste dans une grande chaîne de magasin de sport pour ouvrir une boulangerie. Merci le mariage gris.

    Il change de voiture comme de chemise (sa boulangerie se trouve sur mon chemin, je le vois donc deux fois par jour, en allant au travail, en revenant). Merci le mariage gris.

    Il s'est marié. Non, non, nous ne sommes pas divorcés. Il a fait le fameux hallal, mariage religieux. Oui, c'est interdit en France avant le mariage civil mais tout s'achète. Et rien n'est un obstacle à mon cher mari. Il a donc une épouse, moi, et une épouse au sens religieux du terme, l'officielle puisque nous n'avons jamais fait de hallal (ce dernier ne permet pas la régularisation, donc à quoi bon ?). Elle est peut être venue du Maroc ? Merci le mariage gris.

    Son grand frère travaille avec lui à la boulangerie. Merci le mariage gris.

    Dans cette histoire, je n'ai rien à gagner puisqu'il a tout gagné. J'ai ma dignité, j'ai continué ma vie, je n'ai jamais rampé devant lui mais je n'ai été pour lui qu'un marche pied.

    Cet homme si parfait, si pieux et j'en passe et des meilleurs. Cet homme que j'ai rencontré en France et qui était mon semblable à tous points de vue.

    Mes avocates ont réclamé le maximum mais je ne l'aurais pas, soit le remboursement de mes frais d'avocats et...2500 de dommages et intérêts pour le préjudice moral. Officiellement, il est aux Assedics, donc...Et puis, son argent, je m'en tape. Quant aux dettes du ménage, je suis fonctionnaire donc se sera pour bibi.

    Alors, les amoureuses, réfléchissez, ouvrez les yeux. On n'est pas divorcés et il est marié à une autre, bon moi j'ai aussi continué ma vie mais quand même...Quoi que vous pensiez à mon sujet, raisonnez en tant que femme, qu'être humain.

    Si cette sordide histoire peut vous servir d'exemple, je n'aurais pas tout perdu. Bien sûr, je ne regrette pas, c'est une grande expérience mais à ce prix est-ce que ça valait le coup ?

    Suite et fin de mon histoire:

    Je suis enfin divorcée depuis le 7 août, après près de 3 ans et demi de procédure. Tout ça pour quoi ? J'ai perdu L. Et oui. Impossible pour moi de prouver ce que j'avance. Donc, il n'a pas été "condamné", je n'ai pas eu de divorce pour faute, juste le divorce lambda "pour rupture de la vie commune donc du lien conjugal". Je ne voulais pas d'argent, même pas d'annulation de mariage, je voulais juste que l'escroquerie sentimentale soit reconnue et que ce soit écrit noir sur blanc. Le principe quoi. Même ça, je le l'ai pas eu.

  • Témoignage de Lady20050 du 13 janvier 2009

    Tout commence en 2002, lorsque Mr A, vient travailler comme vigile au supermarché ou ma mère travaille. Mr A est un malien, en situation irrégulière. Mais cet homme est tellement gentil, serviable, il rigole tout le temps, c'est le "Eddy Murphy " Francais (par filiation). Ca deviendra un très bon ami à ma mère. Mes soeurs et moi ferons sa connaissance, ils nous rendra beaucoup de service; il sera comme un frère.

    A cette époque, sa collègue était en instance de divorce, il a commencé une relation avec cette dernière. Ce Mr A devait ètre expulsé en 2003, et comme il était gentil, tout le monde l'adorait, les gens lui ont fait des attestations, afin qu'il puisse rester sur le territoire Francais. Ces éfforts vont payer, Mr A ne sera pas expulsé. Mr A est devenu un confident, il connaissait tout sur notre vie.

    Ma mère, élevait seule ses 3 filles depuis 10 ans, elle a eu une relation avec un Francais, mais par peur qu'il nous prenne notre mère, on ne lui a pas facilité la vie et il a préféré mettre fin à cette histoire. Deux ans après, en Aout 2003, Mr A présente Mr B ( un ivoirien sans-papiers), il vit à 80 kms de chez nous, il a vu une fois et selon lui, il est fou d'elle. C'est un grand black musclé qui a 10 ans de moins que ma mère, une petite femme en fort surpoids

    Dés que j'ai vu ce Mr, je n'y croyais pas à cet amour si soudain. Mr A savait qu'on avait déjà compliqué une relation amoureuse de ma mère, il fallait donc passer au plan B.
    Mr A me présente 2 semaines plus tard, Mr B, un malien (titre de séjour réduit), qui habite aussi à 80 kms de chez moi, on ne s'est jamais vu, mais lui aussi est fou de moi. Au début je n'y ai pas cru une seconde. Mais il a beaucoup insisté, on a discuté des heures et des heures pendant plusieurs semaines par téléphone, depuis la clinique ou il était hospitalisé pour réeducations (renversé par une voiture, accident de travail). A sa sortie, il est revenu chez moi, et là il m'avais convaincu, c'étais l'homme que j'attendais.

    A cette époque,j'avais fini mes études, je ne sortais pas de chez moi, je souffrais d'anorexie/boulimie depuis l'age de 13 ans et j'en avais 19. Mr A connaissait mon état dépréssif par ma mère.
    C'était ma toute première relation, mon tout premier amour, avant j'étais en couple avec ma "balance" lol.
    En Décembre 2003, je tombe enceinte. A ce moment là, Mr B, est toujours très aimant, attentionné, on est très proche.
    Mon fils verra le jour en Septembre 2004, mais on aura un appartement en Janvier 2005, et c'est à ce moment là que Mr B a changé son comportement. Il était toujours sur Paris, car il allait sois-disant chez son frère, car sa famille lui manque, ce que je peux comprendre. Quand il était présent, il passait ses journées au café et il y avait toujours un cousin à la maison.

    Mr B fuyait sa vie de couple et de famille. Il disait ne pas aimer le "sexe". Il ne s'occupait quasiment plus de l'enfant. Je ne supportais plus cette facon de vivre, je suis parti 2 fois chez ma mère durant cette année, à chaque fois il est venu me rechercher quelques heures après en me disant qu'il allait faire des efforts. Mais c'est surtout pour le fait que Mr B avait toujours un titre de séjour réduit (3 mois).

    En Avril 2006, il part sur Paris, comme d' habitude pour aller chez son frère; mais là, ma soeur et ma cousine vont croiser son ami dans le train. Il leur dira que Mr B est parti pour visiter un appartement et que de toute facon j'étais une folle et que je n'aurais pas la garde de mon fils. J'éssaye de joindre MrB, et bien sur, je tombe sur la messagerie. Je ne comprenais pas ce qui se passais, mais sur le coup j'ai eu peur, et j'ai quitté le domicile avec mon fils.

    Là, Mr B n'est pas revenu me chercher comme les autres fois, car il avait obtenu son titre long séjour (1 an). Mais il savait , qu'ayant céssé la vie de couple, ca compliquerait les choses pour sa carte de résident. Quelques semaines plus tard, il m'appelle, on se retrouve chez lui et là il me demande de l'excuser en me disant que c'est ma soeur qui avait tout inventé.
    Je lui ai pardoné car je l'aimais. On a continué à ce voir, mais sans pour autant reprendre la vie en conccubinage. Ca lui suffisait, comme ca en attendant je ne me posait pas de questions et ne faisait donc pas le néccéssaire auprès de la préfecture pour dénoncer cette "paternité grise".

    Mais malheureusement pour lui, je suis tombé enceinte le 13 Octobre 2007 , malgré mon stérilet. Et à l'annonce de cet heureux évènement, Mr B est resté muet. Il a coupé tous contacts depuis Avril 2008. (3 ans après que mes grands-parents lui ont fait un crédit de 6000e. Il faut déposer une plainte pour abus de confiance dans les 3 ans).
    En Mai, j'ai appris par le beau-père, que s'il venait me voir c'était uniquement pour le sexe, qu'il n'avait nullemet envie de reconnaitre l'enfant, et qu'il avait une copine Africaine).
    J'ai donc été reconnaitre seule ma fille. Averti de l'accouchement par le beau-père, Mr B est venu à la maternité, il a pris la petite en photo et est reparti.
    Depuis quasiment plus de nouvelles, plus de pension alimentaire et il laisse une dette de 2000e à mes grands parents.

  • Je sais que mon histoire va vous paraître longue à lire, mais je remercie d'avance ceux qui voudront m'aider. Je vous raconte donc ce qui m'est arrivé et j'espère vraiment trouver l'aide dont j'ai besoin auprès de vous. Voilà, je vis en France, d'origine, Marocaine, j'ai 22 ans. Je me suis marié l'an dernier avec un Marocain vivant au Maroc. On vit ensemble, en France depuis juillet 2007 Seulement, voilà, je lui ai un peu menti durant (environ) 6 mois. Je lui avait dit que j'avais arrêté de fumé, mais ce n'était pas vrai. En décembre, il l'a appris et m'a frappé, sur le coup de l'énervement puis s'est excusé et m'a demandé d'arrêter. Ce que j'ai fais dès le premier jour où il me l'a demandé. J'ai de fumer... Depuis son arrivée en France, je subissais de sa part, un harcèlement moral quotidien et cette histoire de cigarette a empiré son comportement envers moi.
    Lors de ses absences du domicile conjugal, il me séquestrait à l'intérieur et ne m'autorisait en aucun cas à sortir. Il me surveillait nuit et jour. Au travail avec des appel vidéo et audio. Il m'obligeait à laisser mon téléphone portable en communication avec lui, de 14h à 20h, du lundi au vendredi (mes horaire de travail), celui-ci obligatoirement positionner sur mon bureau, près de moi (grâce à un abonnement avec communications illimités et gratuites) afin de savoir tous mes faits et gestes de la journée. Je possède, durant ma journée de travail, deux pause de quinze minutes, où je n'avais pas son autorisation pour me déplacer, me dégourdir les jambes, prendre l'air. Pour aller au toilettes, je devais lui en faire part et laisser le téléphone allumer, à l'intérieur. Par honte, je me retenais durant mes six heures de travail. Je souffrais énormément, en voyant mes collègues libres de tous mouvements, pouvant s'aérer durant l'été, se désaltérer dans la salle de pause. Il m'arrivait quelques fois de rester toute seule dans la salle de travail pendant que tous étaient dehors. Et par dessus tous ça, à la fin de ma journée, à la maison, il m'accusait quand même de m'être levé de ma chaise, afin créer une dispute entre nous. Il avait une peur quotidienne que je touche à la cigarette, car il ne supportait pas la vue d'une fille qui fume. Une excuse pour pouvoir me manipuler, me faire peur, et gérer ma vie. Il me faisait donc subir tous les 3 mois une prise de sang ou bien une analyse d'urine, sans ordonnance, au laboratoire, afin de voir les traces de tabac dans mon corps (Mon avocate détient les résultats d'analyses). Quelques fois, durant mes pauses au travail, il venait au pied de l'immeuble pour sentir mes doigts et ma bouche. Il m'obligeait à m'installer sur le bureau le plus proche de la porte d'entrée afin qu'il puisse monter à sa guise et ouvrir la porte en cachette pour observer si j'étais bien assise à ma place. Je n'avais pas le droit de parler ou de fréquenter des personnes fumeuses, car d'après lui, je risquerais de faire de même. Il m'a retiré toute vie sociale en m'obligeant à dire à mes amies d'enfances que je ne les fréquenterai plus. Il m'a souvent frappé au visage parce que j'osais lui tenir tête lorsqu'il avait tort. Il lui arrivait souvent de me faire des traces, mais je ne me suis pas senti comme une femme battu sur le coup car il venait s'excuser quelques heures après. Et je n'ai, malheureusement, pas fait de certificats médical ces jours-là. Il me jetait souvent, sous le coup de ses colères, des objets. J'ai reçu un gros trousseau de clé sur les doigts, une bouteilles d'eau sur le dos, un objet de vaisselles qui m'a frôlé le visage. Il me lançaient des projectiles assez lourd, se trouvant à porté de ses mains lors de nos disputes.
    Lorsque je sortais sans lui, ce n'étaient que des sorties essentielles, faire les course, aller chez le médecin ou bien me rendre au travail. A mon retour à la maison, il regardaient l'heure à laquelle j'avais pointé mon ticket de bus, le relevé de compte pour voir combien j'avais dépensé, mon portefeuille pour voir combien il me restait de monnaies, les tickets de caisses pour observer si je n'avais pas acheté quelque chose en cachette. Quand il sortait tous les soirs, au café ou bien auprès de ses ami(e)s, il laissait une marque sur les fenêtres et la porte d'entrée pour savoir, à son retour, si je les avais touché. Je n'avais pas l'autorisation de les toucher en son absence. Il surveillait mon portable, mon ordinateur. Je devais enregistrer toutes mes conversations sur ma boite e-mail afin qu'il puisse toutes les lire. Il m'a fait changer de numéros de portable afin que personne ne l'ai à part ma famille et sa famille. Il me faisait du chantage en me disant que si on n'achetais pas une voiture de luxe, on ne partirait pas en vacances cet été. Moi, fatigué de cette dure année de travail et besoin de me reposer auprès de ma famille au Maroc, j'ai accepter de signer avec lui un crédit auto pour une voiture de plus de 18 000 euros alors que je ne possède même pas le permis, mais pour avoir l'autorisation d'allé au Maroc avec lui.
    Et sans oublier, les crédit à la consommation pour faire plaisir avec des cadeaux à sa famille du Maroc ( = 5 500 euros de crédit cumulés). Tous cela pour un mois de vacances. Des crédits auxquels j'ai du signer de mon nom car Monsieur ne possédait qu'une carte de séjour temporaire. Monsieur est fumeur de tabac et de cannabis. Je ne sais pas auprès de qui il se fournit ici en France, mais lors de notre récent voyage au Maroc, il a apporté sa propre consommation personnel en la dissimulant dans une bouteille de shampoing. Il a risqué sa vie en passant la douane mais m'a exposé au même danger, en étant passagère avec lui dans le véhicule. Seulement, je ne l'ai appris qu'à notre arrivé à la maison en France, lorsque je l'ai vu vider cette bouteille de shampoing dan le lavabo.
    Lors de notre vie commune, je sais, d'après ces propres dires, qu'il était à la recherche d'une personne volontaire, voulant établir un mariage blanc avec son frère , qui réside, actuellement, au Maroc. A notre récent voyage au Maroc, j'avais invité mon amie et MONSIEUR avait proposé à son frère de la séduire en vue d'un mariage, puisqu'elle vit en France. Quand à son permis de conduire marocain, le service de permis de conduire de la Préfecture ne lui a toujours pas délivré de permis français. Cela fait plus d'un an que sa demande a été déposé à la Préfecture et il circule toujours, actuellement avec un certain récépissé. Il a d'ailleurs, durant cette année, accumulé les accidents, les Procès-Verbaux, les suppressions de points, les suspensions de permis, mais continu de circuler pendant ces suspensions. Il m'a fait énormément de mal moralement. Je me suis marié avec lui, le 18 avril 2007, par amour. J'ai tous franchi pour le faire venir vivre auprès de moi. J'ai passé les étapes difficiles imposé par le consulat de France de Casablanca, parce que je souhaitais réellement faire ma vie avec lui. J'ai cru à toutes ces paroles et je me rend compte que j'ai fais tous cela pour rien. Je sais que le consulat m'avait prévenu de ces dangers des personnes venant de l'étranger prêts à tous pour venir en Europe, mais j'avais vraiment cru à notre relation pour surmonter tous çà.
    Et je me rend compte, avec un peu de recul, que je suis une nouvelle victime des mariages gris Durant les derniers jours passés dans le domicile conjugal, je lui ai fait comprendre que je ne me sentais plus à l'aise avec lui, qu'il fallait qu'on trouve une solution pour arranger notre relation mais il me retournait à chaque fois la situation en me disant que tout était de ma faute, que c'était moi qui avait choisi cette vie. J'ai fait appel à sa famille qui ne m'est pas venu à l'aide. Ils m'ont même fait comprendre que s'il me frappait s'était pour mon bien, pour me corriger, qu'il changera un jour, mais que je devais me taire et subir. Ils me disaient même qu'il changerais si je faisais des enfants avec lui.
    Jusqu'au jour où j'ai craqué et j'ai quitté le domicile conjugal pour trouver du réconfort auprès de ma famille. Il m'a fait pleins d'autres choses méchantes, mais je pourrais en écrire un livre. Maintenant cela fait 3 mois que je l'ai quitté, j'ai rendez-vous pour la conciliation au mois de mars, ncha'allah, mais durant ces 3 mois il n'a pas arrêter de me harcelé pour que je revienne à lui. Il pleure, devant tous les membres de ma famille, devant mes collègues de travail... Il dit regretter, mais j'ai l'impression que si je retourne avec lui, c'est plus par pitié, et par peur de ne pas trouver quelqu'un plutard. Il a essayer toutes les tentatives pour que je reviennes, me harceler au travail, sonner chez mes parents. Au début mes parents l'ont écouté, mais, mon père et ma mère, lui ont dit les 4 vérités, et ce qu'ils pensaient de lui, énervé; il é parti en claquant la porte. Une deuxième fois, il s'est énervé et a claqué la porte mais cette fois avec une insulte à mon père (in3al din rrab din mok!!!).
    Bref une autre tentative de pleurer devant moi de me dire qu'il va se suicider, la tentative de m'offrir des cadeaux, la tentative de me faire peur c'est à dir, que je regretterai le jour où il refera sa vie, le jour où je ne trouverai personne. L'autre tentative de sortir avec une fille et de passer devant mes proches pour que je sois au courant et la tentative qu'il essai maintenant c'est celle de dire qu'il vas quitter la france et retourné au Maroc. Car c'est une personne du maroc, qui est arrivé ici en France grace à notre mariage. Je sais très bien qu'il regrette énormément ces gestes mais je n'arrive pas à oublier tous ce que j'ai endurer avec lui.
    Je remercie mes parents sans qui jamais je n'aurais pu tenir le coup, car ils m'ont soutenu même si c'est moi qui l'avais choisi malgré qu'il n'étais pas d'accord avec ce mariage. De vivre dans une 37m, où je ne pouvais rien toucher en son absences, car la moidre modifcation voulait dire ke jvoulais cacher quelques choses. De demander de l'aide à sa famille, qui m'a dit que je me plaignais tous le temps... De devoir justifier tout mes faits et gestes.
    Je vous laisse penser à tous ce que j'ai subi et attend de vous la réponses à cette question: Q
    U'EST-CE QUE VOUS AURIEZ FAIT A MA PLACE? EST-CE QUE MON CHOIX A ETE LE BON?





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